Anubis a rencontré "la créature" avant leur arrivée à Némeïl, très longtemps avant même. Elle a un jour failli tuer un innocent sous les yeux d'Anubis qui l'en a empêché. Un lien étrange s'était alors établi entre eux et la créature tuait souvent les êtres qu'Anubis voulait voir punis, comme s'ils avaient une connexion dans l'élimination des "mauvaises âmes". Sauf que à leur arrivé à Némeïs, la créature a pris forme humaine. A sa grande surprise, elle lui était tombée dans les bras, en larmes. Apparemment elle ne parvenait pas à se contrôler et tuait ou tentait de blesser souvent des inconnus sans raison. Se rappelant que le dieu l'avait un jour empêché de tuer un innocent c'est vers lui qu'elle s'était tournée pour l'aider. Anubis tente de lui enseigner l'art de la méditation et de la sagesse. Il la soutient et il n'est pas rare qu'elle arrive chez lui en sang et en larmes après avoir blessé quelqu'un. Seulement, depuis un temps, des sentiments plus profond sont nés entre les deux ... Ou plutôt les trois. La douce Makena a emménagé chez Anubis pour qu'il puisse l'aider à vraiment se contrôler, et voyant ce rapprochement, l'Aképhalos a décidé de tout faire pour les éloigner. Seulement lors d'une soirée, quelqu'un l'a attaqué et Anubis l'a protégé même en sachant que ce n'était pas "sa" Makena. Depuis, la Makena vengeresse fait tout pour l'éviter, car elle sait qu'il est pour elle un point faible : un ancrage vers son humanité. Et s'il était ce qu'il fallait pour réunir les deux côtés de la jeune femme ?

Suite à l'intrigue 2, Anubis s'est renfermé sur lui même, allant souvent au chevet de sa mère malade, et devenant plus haineux envers les mythologies qui leur avaient causées de la souffrance. Makena a été la seule qu'il tolérait à ses côtés bien qu'il s'emportait parfois, il finissait toujours par s'excuser. Elle s'occupe de lui, et les deux faces de Makena se tiennent d'accord pour ne pas le laisser tomber, même si sa part douce est plus là pour le soutenir et s'en occuper tandis que sa part sombre préfère nourrir sa haine des autres.